Pauvre individu.
"Si l’on s’aperçoit que l’adversaire est supérieur et que l’on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Être désobligeant, cela consiste à quitter l’objet de la querelle (puisqu’on a perdu la partie) pour passer à l’adversaire, et à l’attaquer d’une manière ou d’une autre dans ce qu’il est : on pourrait appeler cela argumentum ad personam pour faire la différence avec l’argumentum ad hominem."
Schopenhauer, l'art d'avoir toujours raison.
Non, je m’économise simplement d’avoir à argumenter devant une telle distorsion de la réalité, juste pour le plaisir de la posture. J’ai écrit des lignes et des lignes hier qui suffisent à te répondre, mais elles étaient hier trop longues pour être intéressantes pour votre petit clan. Aujourd’hui, un simple qualificatif est trop restreint. Je ne suis pas ici pour satisfaire vos minauderies de nombres de mots et de phrases. Je n’ai pas que cela à faire, surtout pas avec un tordu mythomane de ton espèce. Je le réitère, tu es un sinistre personnage. Menteur, affabulateur, schizophrénique, groupie de Mélenchon et apôtre du néolibéralisme dans le même temps, qui parle de respecter la langue française mais est incapable de distinguer un « réfugié » d’un « migrant économique », en manque criant d’affect pour lui-même à la vue du besoin que tu as d’aller à l’encontre de la réalité, juste pour te rendre interessant ou te donner l’impression que tu l’es. Désolé, mais j’arrête de nourrir tes névroses. Et j’espère que le nombre de lignes conviendra, cette fois.