398 réponses à ce sujet

[Lorenzo]

Attends, entre la Géorgie et les cyclones dans le golfe du Mexique, "ils" devraient bien nous trouver 2/3 excuses pour le faire remonter...

[Garulfo]

De toute façon la baisse n'a pas été répercutée à la pompe. Ils n'ont même pas besoin de réhausser les tarifs de suite. Le vol se poursuit avec des marges plus faibles c'est tout.

[Khrysaor]

De toute façon la baisse n'a pas été répercutée à la pompe. Ils n'ont même pas besoin de réhausser les tarifs de suite. Le vol se poursuit avec des marges plus faibles c'est tout.

C'est toujours d'actualité!

[la meringue]

De toute façon la baisse n'a pas été répercutée à la pompe. Ils n'ont même pas besoin de réhausser les tarifs de suite. Le vol se poursuit avec des marges plus faibles c'est tout.

C'est toujours d'actualité!

Plus que jamais... Le pétrole a frôlé les 105$ hier en séance, ça représente une baisse de presque 30% par rapport à début juillet.
Sachant que 40% du prix du litre du SP n'est pas dû aux taxes, le SP aurait dû baisser, depuis juillet, de 40% x 30% soit environ 18 centimes au litre. On en est, d'après ce que j'ai entendu ce matin à la radio, à 6 centimes de baisse par rapport à cette même date.
'culés.

[Le roi Arthur]

Plus que jamais... Le pétrole a frôlé les 105$ hier en séance, ça représente une baisse de presque 30% par rapport à début juillet.
Sachant que 40% du prix du litre du SP n'est pas dû aux taxes, le SP aurait dû baisser, depuis juillet, de 40% x 30% soit environ 18 centimes au litre. On en est, d'après ce que j'ai entendu ce matin à la radio, à 6 centimes de baisse par rapport à cette même date.
'culés.

Effectivement la proportionnalité de l'évolution du prix du litre d'essence ou de diesel par rapport au baril n'est pas la même selon si le baril monte ou baisse. Mais les politiques vont nous expliquer le pourquoi du comment je n'ai pas de doute.

[lucho-les-marrons]

Plus que jamais... Le pétrole a frôlé les 105$ hier en séance, ça représente une baisse de presque 30% par rapport à début juillet.
Sachant que 40% du prix du litre du SP n'est pas dû aux taxes, le SP aurait dû baisser, depuis juillet, de 40% x 30% soit environ 18 centimes au litre. On en est, d'après ce que j'ai entendu ce matin à la radio, à 6 centimes de baisse par rapport à cette même date.
'culés.

Effectivement la proportionnalité de l'évolution du prix du litre d'essence ou de diesel par rapport au baril n'est pas la même selon si le baril monte ou baisse. Mais les politiques vont nous expliquer le pourquoi du comment je n'ai pas de doute.

"Elasticité asymétrique" qu'on doit pouvoir dire pour parler de ça, non ?

Et sinon, personne n'a regardé une courbe du prix du baril converti en euros ?
Je vais chercher ça. M'est avis que c'est beaucoup plus stable que ce qu'en glosent nos amis les journalistes...

[Khrysaor]

Très intéressant ceci!

[lucho-les-marrons]

Très intéressant ceci!

Merci ! C'est bien ce que je cherchais.
Et ça confirme que la courbe en euros est nettement plus plate qu'en $
(même si les graphiques ici ne le montrent guère "visuellement" ; il faut lire les indices à droite, en haut et en bas, pour s'en rendre compte...)

[tranxen_200]

De toute façon la baisse n'a pas été répercutée à la pompe. Ils n'ont même pas besoin de réhausser les tarifs de suite. Le vol se poursuit avec des marges plus faibles c'est tout.

C'est toujours d'actualité!

Plus que jamais... Le pétrole a frôlé les 105$ hier en séance, ça représente une baisse de presque 30% par rapport à début juillet.
Sachant que 40% du prix du litre du SP n'est pas dû aux taxes, le SP aurait dû baisser, depuis juillet, de 40% x 30% soit environ 18 centimes au litre. On en est, d'après ce que j'ai entendu ce matin à la radio, à 6 centimes de baisse par rapport à cette même date.
'culés.

C'est pas exactement ça.
La TIPP est d'office de 60cts par litre de SP95, puis vient la TVA (19,6) sur le montant hors TIPP.
Il n'empêche que la répercussion à la baisse se fait sentir moins rapidement que la hausse du baril...

[Garulfo]

Comme la non répercussion de la baisse du prix des matières premières sur les produits alimentaires. On n'est vraiment pris pour des consommateurs.

[la meringue]

C'est pas exactement ça.
La TIPP est d'office de 60cts par litre de SP95, puis vient la TVA (19,6) sur le montant hors TIPP.
Il n'empêche que la répercussion à la baisse se fait sentir moins rapidement que la hausse du baril...

Donc reprenons. Le litre de SP95 au Super U début juillet : 1,46 €, qui se décompose donc en :
- 0,60 € de TIPP
- 0,72 € de "hors TVA"
- 0,14 € de TVA (soit environ 19,6% de 0,72 €)
(en passant, ça ferait 50% de taxes environ alors que le type de Pétrole et Gaz Arabes interviewé hier parlait de 60%)

Le baril ayant baissé de (disons) 25% (147 -> 110 $), la part hors TVA devrait baisser d'autant, donc passer de 0,72 € à 0,54 €. La TVA, elle, ne s'appliquerait qu'à 0,54 € donc elle s'élèverait à 0,11 € maximum. Ce qui nous ferait théoriquement un litre à 0,60 + 0,54 + 0,11 = 1,25 €.
Hier encore, à ce même Super U à Besançon, le litre était encore à 1,435 € (!!!).
J'attends donc de voir si avec l'inertie (quelques semaines) le litre descendra à 1,25 €, ne serait-ce qu'une journée...

[tranxen_200]

Entre le prix d'achat et le moment où le pétrole est distribué à la pompe, il s'écoule plusieurs semaines (transfort, raffinage,...). En ce moment, on doit être en train de payer à la pompe le pétrole acheté au moment où les compagnies pétrolères le payaient 150$ le baril.
Les répercussions à la baisse sont donc lentes.
Mais pas les répercussions à la hausse, qui elles sont anticipées...
C'est pas un hasard si les compagnies pétrolières réalisent des milliards d'euros de bénéfices.

[la meringue]

Autrement dit faut avoir un paquet d'actions chez TOTAL pour compenser...

[tranxen_200]

Le cours a chuté hier brièvement sous la barrière psychologique des 100$ le baril.

La demande étant en baisse (fin des JO, début de récession économique mondiale, changement de comportement dans les pays développés), les prix peuvent continuer à baisser si l'OPEP ne s'entend pas à réduire les quotas de production.
On ne devrait toutefois (et malheureusement) pas atteindre les cours d'il y a 10 ans lors du précédent contre-choc pétrolier, à 10$ le baril.

[la meringue]

Le cours a chuté hier brièvement sous la barrière psychologique des 100$ le baril.

La demande étant en baisse (fin des JO, début de récession économique mondiale, changement de comportement dans les pays développés), les prix peuvent continuer à baisser si l'OPEP ne s'entend pas à réduire les quotas de production.
On ne devrait toutefois (et malheureusement) pas atteindre les cours d'il y a 10 ans lors du précédent contre-choc pétrolier, à 10$ le baril.

Ce qu'elle a fait hier je crois, non ? (-500.000 barils/jour)

[tranxen_200]

Je me suis mal exprimé.
L'OPEP a effectivement réduit ses quotas de production, mais encore faut-il que les pays producteurs suivent cette demande de réduction, ce qui ne sera surement pas le cas de certains gros producteurs (Arabie Asoudite, Iran, Vénézuela) qui ont annoncé qu'ils ne réduiraient pas leur production.

[tranxen_200]

L'essence trop chère
ER du jour

Christine Lagarde s'étonne que les prix à la pompe ne suivent pas les cours du baril.
La ministre de l'Economie Christine Lagarde compte demander des explications aux producteurs pétroliers sur la baisse du prix de l'essence sans plomb à la pompe, qui ne reflète pas totalement celle des prix du pétrole, a-t-elle indiqué hier sur France Inter.
« Autant le prix du gasoil a fortement baissé, dans les mêmes proportions que le prix du baril, en revanche, sur le SP95 et SP98, la baisse est plus modérée », a-t-elle indiqué.
Christina Lagarde a dit vouloir « arriver à comprendre exactement comment ils m'expliquent cette différence », en parlant des producteurs pétroliers. Elle a toutefois exclu de les convoquer à Bercy.
Le prix du baril de pétrole brut tourne actuellement autour de 102-103 dollars, contre 147,50 dollars le baril le 11 juillet, son niveau record. Il est même repassé récemment sous le seuil symbolique des 100 dollars.

Les carburants plombés par le dollar et par les taxes
ER du jour

L'Union française des industries pétrolières tente d'expliquer des évolutions de tarifs incompréhensibles.
La baisse des prix des carburants est moins importante que celle du pétrole en raison des taxes et du recul de l'euro, affirme l'Union française des industries pétrolières (Ufip), en réponse aux interrogations de la ministre Christine Lagarde, tout en reconnaissant que ces facteurs ne suffisent pas à expliquer cette différence.

Même en euros et hors taxes, la baisse des prix à la pompe reste « en deçà » de la baisse des prix du brut sur les marchés mondiaux, a reconnu le président de l'Ufip, Jean-Louis Schilansky. Depuis fin juin, le prix du pétrole brut en euros a baissé de 19%, tandis que celui du gazole hors taxes n'a baissé que de 13% et celui de l'essence hors taxes que de 10%, selon les chiffres fournis par son organisation.
Première explication avancée par l'Ufip, la baisse de l'euro par rapport au dollar, monnaie d'échange pour le pétrole. « Quand la devise européenne chute de 10% par rapport au dollar, cela limite la baisse des prix des carburants à la pompe de 8 centimes », soulignent les pétroliers.

Pas d'argument précis

En outre, rappelle M. Schilansky, « la moitié du prix des carburants à la pompe est composée de taxes », notamment de la taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP), dont le taux est fixe et qui porte sur les volumes consommés.
Troisième argument de l'Ufip : les prix hors taxes de l'essence ont moins baissé que ceux du gazole en raison de « phénomènes saisonniers » sur les marchés mondiaux.
M. Schilansky a toutefois reconnu que ces éléments ne suffisaient pas à expliquer totalement la différence entre la baisse du baril et celle des prix à la pompe, sans avancer d'autre argument précis.
Les prix des carburants sont repartis à la baisse la semaine dernière. Le litre de gazole, carburant le plus consommé en France, s'est vendu en moyenne 1,3245 euro contre 1,3361 la semaine précédente et le litre de super sans plomb 95 1,4255 euro contre 1,4364.
Le prix du baril sur les marchés est répercuté à la pompe en France dans un délai variant de 10 à 15 jours.
12/09/08

[la meringue]

L'argument est pourtant simple et facilement avouable : s'en foutre plein les fouilles.
Balais à chiottes !

(Ce matin au Géant de Besac, SP95 à 1,429 €/L, presque à son maximum de juillet !!!)

[Bart Simpson]

Quand je pense que je l'ai mis à Boncourt Samedi dernier à 1,16€ et que j'ai 4 marlboro pour 4.20€ l'unité.

[erbaton25]

Quand je pense que je l'ai mis à Boncourt Samedi dernier à 1,16€ et que j'ai 4 marlboro pour 4.20€ l'unité.

Pareil...Mais je ne fume pas...

[Bart Simpson]

ben tu serais fumeur, en allant en Suissie, t'aurais vraiment le sentiment de faire des économies.

[erbaton25]

ben tu serais fumeur, en allant en Suissie, t'aurais vraiment le sentiment de faire des économies.

Putain mais t'as raison je vais me mettre à fumer bordel !

[KHALED]

ben tu serais fumeur, en allant en Suissie, t'aurais vraiment le sentiment de faire des économies.

Putain mais t'as raison je vais me mettre à fumer bordel !

Ca tue le nez et le palais, fais gaffe.

[Khrysaor]

Un petit site intéressant!

[remi.p25]

En fait, on constate que l'essence n'est pas chère de nos jours, car si on compare par rapport à 10 ans en arrière.

La hausse du pétrole n'est pas la même que le prix de l'essence.

[Le roi Arthur]

Ca baisse, ca baisse ...
Mais il n'y a plus de banque ....

[Garulfo]

On va tous crever, on va tous crever ...




Alors, baffrons, saoûlons-nous et baisons comme des gorets avant l'apocalypse.

[pittman]

On va tous crever, on va tous crever ...

Alors, baffrons, saoûlons-nous et baisons comme des gorets avant l'apocalypse.

Dicton Gainsbourgeois?

[chab]

non, Didier Super

Edit: j'en profite pour faire une dédicace dans ma signature tiens

[Garulfo]

Artistiquement ça ne tient pas la comparaison.


désolé