le jeu des une heure !
#8701
Posté 15 septembre 2005 - 16:23
#8702
Posté 15 septembre 2005 - 16:23
Non ce n'était pas un RDV galant !
Bien agréable, tout de même.
#8703
Posté 15 septembre 2005 - 16:24
#8704
Posté 15 septembre 2005 - 16:28
#8705
Posté 15 septembre 2005 - 16:29
#8706
Posté 15 septembre 2005 - 16:29
A demain.
#8707
Posté 15 septembre 2005 - 16:32
#8708
Posté 15 septembre 2005 - 17:14
...trice.
#8709
Posté 15 septembre 2005 - 17:17
Tu evu aps courir 10 minute de plus pour moi ?
jai la flemme de sortir !
#8710
Posté 15 septembre 2005 - 17:35
#8711
Posté 15 septembre 2005 - 18:02
Tu parles de quoi ?
J' te casse les dents moi ! LOL
J'habite a côté de chez Colette aux MONTBOUCONS moi !
#8712
Posté 15 septembre 2005 - 18:16
#8713
Posté 15 septembre 2005 - 19:00
L'ecrivain de la fin du 19e debut du 20e qui a ecrit entre autre "sido" ???
#8714
Posté 15 septembre 2005 - 19:02
#8715
Posté 15 septembre 2005 - 19:19
...trice.
oui oui
comme dans castratrice, dominatrice
#8716
Posté 15 septembre 2005 - 19:33
...trice.
oui oui
comme dans castratrice, dominatrice
Laissez moi gagner !
Pour Colette svp !
#8717
Posté 15 septembre 2005 - 19:34
...trice.
oui oui
comme dans castratrice, dominatrice
excuse moi de mettre à mal ma promesse de cette ap,
Je le savais luigi, c'était un pathétique essai de ma part pour faire de l'humour..
#8718
Posté 15 septembre 2005 - 19:38
Elle a une jeunesse très heureuse avec des parents qui l’aiment beaucoup, surtout sa mère Sidonie qui a une grande influence sur elle.
A cause d’une gestion malheureuse par son père, la fortune de famille diminue tout doucement, à un tel point qu’en 1891 ils sont obligés de vendre leurs meubles.
A l’age de 20 ans Colette épouse un playboy parisien Henri Gauthier-Villars, mieux connu comme Monsieur Willy. Son mari est un journaliste connu, bien qu’il n’écrive pas lui-même: il a plusieurs ‘nègres’ à sa disposition pour faire ce travail. Après un an de mariage, quand ils ont quelques problèmes d’argent, Willy suggère à Colette d’écrire ses mémoires d’école, de préférence avec un maximum de détails piquants. Il n’aime pas le résultat, mais cinq ans après il regarde de nouveau le manuscrit, fait quelques ajouts et le publie sous son nom avec le titre ‘Claudine à l’école’. C’est le début d’une série de livres écrits par Colette et signés par Willy. Bien qu’il la trompe ouvertement, Willy a toujours une grande influence sur Colette et ‘l’oblige’ d’écrire. Cela continuera jusqu’en 1905 quand ils se séparent (le divorce aura lieu cinq ans plus tard) et que Colette ira vivre seule. Vu qu’elle ne sait pas encore vivre de sa plume, elle devient aussi actrice de pantomime. Elle travaille, entre autre, au Moulin Rouge où elle apparaît avec son amie lesbienne la Marquise de Belbeuf dans une scène tellement scandaleuse que la police fait arrêter le spectacle.
En 1911 elle tombe amoureuse de Henri de Jouvenel et ils se marient fin 1912, deux mois après la mort de sa mère. Six mois plus tard, elle a alors 40 ans, sa fille Colette (Bel-Gazou) vient au monde.
Colette continue d’écrire, pas uniquement sur le Paris de la Belle Epoque, mais aussi sur la nature qu’elle aime beaucoup, les animaux et les plantes de la région où elle est née.
Pendant la première guerre mondiale elle est aussi journaliste de guerre. En 1920 elle reçoit la Légion d’honneur pour ses mérites comme auteur.
En 1923 paraît ‘Le blé en herbe’, son premier roman qu’elle signe uniquement Colette (ces livres précédents étaient signés Willy Colette).
1924 connait la fin de son deuxième mariage, une union ou les deux partenaires avaient ouvertement des liaisons. Un an après, elle rencontre Maurice Goudeket, qui a 16 de moins qu’elle. Ils se marient en 1935 et elle connait enfin un mariage heureux. Maurice Goudeket est arrêté par les Nazis en décembre 1941 parce qu’il est juif. Colette est terriblement angoissée mais Maurice est libéré le 6 février. Il se cachera pendant le reste de la guerre.
Au début de sa carrière Colette était connue surtout à cause de toute sortes de scandales, mais peu à peu cela diminue, surtout parce que la mentalité des gens change énormément. Elle devient de plus en plus respectée comme auteur: elle est même nommée présidente de l’Académie Goncourt.
Dans la dernière partie de son oeuvre, dont plusieurs livres ont été filmés, Sido devient un thème important.
A la fin de sa vie Colette doit rester alitée à cause d’une arthrose, mais son esprit reste vivace: elle est un exemple de l’art de vieillir.
Quand elle meurt à l’age de 81 ans, elle est la première femme en France a avoir des funérailles officielles, bien que l’église lui refuse un enterrement religieux.
La classe nan ?
#8719
Posté 15 septembre 2005 - 19:47
Elle a une jeunesse très heureuse avec des parents qui l’aiment beaucoup, surtout sa mère Sidonie qui a une grande influence sur elle.
A cause d’une gestion malheureuse par son père, la fortune de famille diminue tout doucement, à un tel point qu’en 1891 ils sont obligés de vendre leurs meubles.
A l’age de 20 ans Colette épouse un playboy parisien Henri Gauthier-Villars, mieux connu comme Monsieur Willy. Son mari est un journaliste connu, bien qu’il n’écrive pas lui-même: il a plusieurs ‘nègres’ à sa disposition pour faire ce travail. Après un an de mariage, quand ils ont quelques problèmes d’argent, Willy suggère à Colette d’écrire ses mémoires d’école, de préférence avec un maximum de détails piquants. Il n’aime pas le résultat, mais cinq ans après il regarde de nouveau le manuscrit, fait quelques ajouts et le publie sous son nom avec le titre ‘Claudine à l’école’. C’est le début d’une série de livres écrits par Colette et signés par Willy. Bien qu’il la trompe ouvertement, Willy a toujours une grande influence sur Colette et ‘l’oblige’ d’écrire. Cela continuera jusqu’en 1905 quand ils se séparent (le divorce aura lieu cinq ans plus tard) et que Colette ira vivre seule. Vu qu’elle ne sait pas encore vivre de sa plume, elle devient aussi actrice de pantomime. Elle travaille, entre autre, au Moulin Rouge où elle apparaît avec son amie lesbienne la Marquise de Belbeuf dans une scène tellement scandaleuse que la police fait arrêter le spectacle.
En 1911 elle tombe amoureuse de Henri de Jouvenel et ils se marient fin 1912, deux mois après la mort de sa mère. Six mois plus tard, elle a alors 40 ans, sa fille Colette (Bel-Gazou) vient au monde.
Colette continue d’écrire, pas uniquement sur le Paris de la Belle Epoque, mais aussi sur la nature qu’elle aime beaucoup, les animaux et les plantes de la région où elle est née.
Pendant la première guerre mondiale elle est aussi journaliste de guerre. En 1920 elle reçoit la Légion d’honneur pour ses mérites comme auteur.
En 1923 paraît ‘Le blé en herbe’, son premier roman qu’elle signe uniquement Colette (ces livres précédents étaient signés Willy Colette).
1924 connait la fin de son deuxième mariage, une union ou les deux partenaires avaient ouvertement des liaisons. Un an après, elle rencontre Maurice Goudeket, qui a 16 de moins qu’elle. Ils se marient en 1935 et elle connait enfin un mariage heureux. Maurice Goudeket est arrêté par les Nazis en décembre 1941 parce qu’il est juif. Colette est terriblement angoissée mais Maurice est libéré le 6 février. Il se cachera pendant le reste de la guerre.
Au début de sa carrière Colette était connue surtout à cause de toute sortes de scandales, mais peu à peu cela diminue, surtout parce que la mentalité des gens change énormément. Elle devient de plus en plus respectée comme auteur: elle est même nommée présidente de l’Académie Goncourt.
Dans la dernière partie de son oeuvre, dont plusieurs livres ont été filmés, Sido devient un thème important.
A la fin de sa vie Colette doit rester alitée à cause d’une arthrose, mais son esprit reste vivace: elle est un exemple de l’art de vieillir.
Quand elle meurt à l’age de 81 ans, elle est la première femme en France a avoir des funérailles officielles, bien que l’église lui refuse un enterrement religieux.
La classe nan ?
source : http://www.rosadoc.b...r/colettefr.htm
#8720
Posté 15 septembre 2005 - 19:50
Si Colette vous lisait !
Sidonie-Cabrielle Colette was born in the Burgundian village of Saint-Sauveur-en Puisaye as the daughter of a retired army captain, Jules-Joseph Colette, who had lost a leg in the Italian campaign and who worked as a taxcollector with local political aspirations. Her mother, Adele Eugenie Sidonie Landoy, known as 'Sidonie' or 'Sido', was an unconventional character, a down-to-earth personality, devoted to her pets, books, and garden. Colette spent a happy childhood in rural surrounding, which later was the scene of her many novels. At the age of 20 Colette married 15 years older writer and music critic Henri Gauthier-Villars, ('Monsieur Willy'). Colette's biographers' have labelled her first husband as a literary charlatan and degenerate.
#8721
Posté 15 septembre 2005 - 19:51
Si Colette vous lisait !
Sidonie-Cabrielle Colette was born in the Burgundian village of Saint-Sauveur-en Puisaye as the daughter of a retired army captain, Jules-Joseph Colette, who had lost a leg in the Italian campaign and who worked as a taxcollector with local political aspirations. Her mother, Adele Eugenie Sidonie Landoy, known as 'Sidonie' or 'Sido', was an unconventional character, a down-to-earth personality, devoted to her pets, books, and garden. Colette spent a happy childhood in rural surrounding, which later was the scene of her many novels. At the age of 20 Colette married 15 years older writer and music critic Henri Gauthier-Villars, ('Monsieur Willy'). Colette's biographers' have labelled her first husband as a literary charlatan and degenerate.
extrait de http://www.kirjasto.sci.fi/colette.htm
#8722
Posté 15 septembre 2005 - 19:54
Si Colette vous lisait !
Sidonie-Cabrielle Colette was born in the Burgundian village of Saint-Sauveur-en Puisaye as the daughter of a retired army captain, Jules-Joseph Colette, who had lost a leg in the Italian campaign and who worked as a taxcollector with local political aspirations. Her mother, Adele Eugenie Sidonie Landoy, known as 'Sidonie' or 'Sido', was an unconventional character, a down-to-earth personality, devoted to her pets, books, and garden. Colette spent a happy childhood in rural surrounding, which later was the scene of her many novels. At the age of 20 Colette married 15 years older writer and music critic Henri Gauthier-Villars, ('Monsieur Willy'). Colette's biographers' have labelled her first husband as a literary charlatan and degenerate.
extrait de http://www.kirjasto.sci.fi/colette.htm
Toi mon petit bonhomme !
Tu remanque encore une fois de respect a Colette je te casse les genoux !
Par ce que Colette elle a ue maison pres de chez moi !
source : www.situremetunesourcejtebute.fr
#8723
Posté 15 septembre 2005 - 19:59
Si Colette vous lisait !
Sidonie-Cabrielle Colette was born in the Burgundian village of Saint-Sauveur-en Puisaye as the daughter of a retired army captain, Jules-Joseph Colette, who had lost a leg in the Italian campaign and who worked as a taxcollector with local political aspirations. Her mother, Adele Eugenie Sidonie Landoy, known as 'Sidonie' or 'Sido', was an unconventional character, a down-to-earth personality, devoted to her pets, books, and garden. Colette spent a happy childhood in rural surrounding, which later was the scene of her many novels. At the age of 20 Colette married 15 years older writer and music critic Henri Gauthier-Villars, ('Monsieur Willy'). Colette's biographers' have labelled her first husband as a literary charlatan and degenerate.
extrait de http://www.kirjasto.sci.fi/colette.htm
Toi mon petit bonhomme !
Tu remanque encore une fois de respect a Colette je te casse les genoux !
Par ce que Colette elle a ue maison pres de chez moi !
source : www.situremetunesourcejtebute.fr
#8724
Posté 15 septembre 2005 - 20:15
#8725
Posté 15 septembre 2005 - 20:15
#8726
Posté 15 septembre 2005 - 20:16
#8727
Posté 15 septembre 2005 - 20:22
SIDONI aussi !
#8728
Posté 15 septembre 2005 - 21:55
Mais j'ai de la lecture. Notamment "Introduction à la Psychanalyse" de Freud à lire pour mercredi
#8729
Posté 15 septembre 2005 - 22:27
J'en connais un qui ne va pas chômer...
#8730
Posté 15 septembre 2005 - 22:32
Ceci dit, faudrait déjà qu'il soit là